Jean-Marc Nattier - L'alliance de l'amour et du vin (1744)

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Le vacancier solitaire

Il s'était allongé dans le pré de luzerne,
Et il regardait l'immensité bleue du ciel,
Le soleil de juillet était déjà à son zénith ;
La mer était tout près, à cent mètres de là,
Il décida de courir pour s'y aller rafraîchir ;
À cette heure-là, la plage était presque déserte,
Il fit quelques brasses, sans même ôter son short,
Puis il demeura une petite heure sur le sable
Afin de se sécher un peu, surtout le haut du corps.
Sur le sentier poussiéreux qui remontait vers le gîte
Qu'il avait loué pour ses trois semaines de vacances,
Il croisa une jeune fille très jolie, bien bronzée ;
Elle portait une jupette rouge, très courte,
Qui dévoilait des jambes fines,un peu trop musclées.
Elle le salua bien poliment, il lui rendit son bonjour,
Et lui demanda si elle habitait le village toute l'année ;
Elle lui fit oui de la tête, il l'invita à faire le trajet
En sa compagnie jusqu'à la maison basse où il logeait ;
Tout de suite elle accepta, et il s'imagina des folies.
Mais la jeune fille était très sage, seulement curieuse
De savoir pourquoi il était venu tout seul ici, sans femme
Et sans enfants comme la majorité des autres touristes.
Il lui sourit, lui prit la main et lui dit simplement :
« Si tu veux revenir demain, je t'expliquerai tout cela.»

J'écris (extraits)

J'écris par amour des mots
Et pour dire des mots d'amour,
J'écris souvent comme l'on crie
Quand on veut appeler au secours...

J'écris pour célébrer la beauté
De la nature toute puissante,
Et puis aussi celle des femmes,
J'écris pour mieux me souvenir...

J'écris pour celle que j'adore
Et qui connaît toute mon histoire...

J'écris pour ne plus être dupe,
J'écris pour ne pas mourir,
J'écris ma haine de la souffrance...

J'écris pour vous, mes chers amis,
Qui m'avez aidé à accepter la vie.

Bernard Lanza     

Bernard-Lanza

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