Chanter les louanges de ton cul,
Dans ce poème ou dans la rue,
N'est pas impie, mon adorée.
Mes mains impatientes caressent
Les rondeurs de tes belles fesses,
Sans s'occuper des gens coincés
Qui, tout en s'offusquant, reluquent
Ton popotin sous ta jupette,
N'étant que faux-culs hypocrites.
Tu es si charnelle que je veux vite
Te voir toute nue, jolie fillette,
Et voilà donc que je dégrafe,
Chérie, ton vaporeux corsage,
Pour suçoter tes seins mignons,
Et qu'à présent, il faut que je l'ôte
Ta jupette et même ta culotte,
Si je veux bien peloter ton cul
Qui me fascine tant et plus.