Jean-Marc Nattier - L'alliance de l'amour et du vin (1744)

Important ! le site est en sursis

Le site "bernardlanza.net" est inaccessible depuis mi-novembre 2017, la créatrice et administratrice du site, propriétaire du nom de domaine, ne pouvant plus en assurer la pérennité, sauf si les héritiers de Bernard LANZA prennent contact avec le webmaster afin de trouver une solution permettant de continuer sa publication.

Merci à toute personne susceptible de savoir comment contacter l'un de ces héritiers de le faire afin d'éviter ou d'acter cette fermeture.

 

Départ

Elle avait bien compris
Que l'heure était venue
Déjà de nous quitter ;
Elle était si menue
Dans sa longue robe noire,
Et dans ses yeux si bleus,
Je voyais scintiller
Mille étoiles du ciel.
J'avais tant redouté
Le jour de son départ,
Et j'avais tant pleuré
Lorsqu'elle prit l'autocar,
S'en allant pensionnaire
Dans quelque institution
Où l'on apprend la vie.
Rien de peu ordinaire
Dans cette situation,
Sinon que pour ma part
J'allais partir aussi,
Accablé de soucis :
L'armée me réclamait
Pour dix-huit mois ou plus,
L'horizon se bouchait.
Je dus, non sans émoi,
Refermer cette page
D'une idylle romantique,
Une histoire plutôt sage,
Une romance sans retour.

        --ooOoo--

Avait-elle bien compris
Que l'heure était venue
Déjà de nous quitter ?
Elle était trop menue
Dans sa longue robe noire,
Et dans ses yeux si bleus,
J'avais vu scintiller
Mille étoiles célestes.
J'avais tant redouté
Le jour de son départ,
Et j'eus bien du chagrin
Quand elle prit l'autocar,
S'en allant pensionnaire
Dans cette institution
Pour y apprendre la vie
Et les bonnes manières.
Rien d'extraordinaire
Dans cette situation,
Sinon que moi aussi,
J'allais devoir partir,
M'éloigner du pays,
Aggravant son souci :
L'armée me réclamait
Pour plus d'un an, hélas,
L'horizon se bouchait ;
J'allais, non sans émoi,
Refermer cette page
D'un amour romantique,
Une histoire bien sage
Qui ne reviendrait plus.

Anne Brunelle

J'écris (extraits)

J'écris par amour des mots
Et pour dire des mots d'amour,
J'écris souvent comme l'on crie
Quand on veut appeler au secours...

J'écris pour célébrer la beauté
De la nature toute puissante,
Et puis aussi celle des femmes,
J'écris pour mieux me souvenir...

J'écris pour celle que j'adore
Et qui connaît toute mon histoire...

J'écris pour ne plus être dupe,
J'écris pour ne pas mourir,
J'écris ma haine de la souffrance...

J'écris pour vous, mes chers amis,
Qui m'avez aidé à accepter la vie.

Bernard Lanza     

Bernard-Lanza

Sauvegarder
Choix utilisateur pour les Cookies
Nous utilisons des cookies afin de vous proposer les meilleurs services possibles. Si vous déclinez l'utilisation de ces cookies, le site web pourrait ne pas fonctionner correctement.
Tout accepter
Tout décliner
Analytics
Outils utilisés pour analyser les données de navigation et mesurer l'efficacité du site internet afin de comprendre son fonctionnement.
Google Analytics
Accepter
Décliner