Jean-Marc Nattier - L'alliance de l'amour et du vin (1744)

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Adultère

Eh Madame, où t'en vas-tu comme ça,
Pendue au bras de ce bellâtre tendre ?
T'emmènerait-il au cinéma ?
C'était ce que j'avais cru comprendre.

Il pourra t'en dire, des « Je t'aime ! »,
Te les chuchotant dans la pénombre ;
Te déclamera-t-il ce poème
Qu'il te dédia dans les temps sombres ?

Madame, tu sais bien que là-bas,
Ton vieil époux encore t'attend ;
Mais lui ne t'offre plus d'ébats,
C'est du moins ce que tu prétends.

Cela t'affole-t-il de penser
Que tu sois coupable d'adultère ;
Sans doute est-ce là chose insensée,
Mais tu te sens plus libre, j'espère.

Oh Madame, il t'embrasse dans le cou,
Et ses mains deviennent audacieuses ;
Pourquoi ne pas vivre d'amour fou
En oubliant tes coutumes pieuses ?

               --ooOoo--

Madame, où t'en vas-tu comme ça
Au bras de ce bellâtre tendre ?
T'emmènerait-il au cinéma ?
C'est ce que j'avais pu comprendre.

Il pourra t'en dire des « Je t'aime ! »
En  te serrant fort dans la pénombre ;
Lui déclameras-tu ce poème
Que je t'écrivis dans les temps sombres ?

Madame, je crois bien que là-bas,
Ton vieil époux encore t'attend,
Mais lui ne t'offre plus d'ébats,
C'est du moins ce que tu prétends.

Cela t'affole-t-il de penser
Que tu sois coupable d'adultère ?
Tu trouvais cela chose insensée,
Mais tu te sens plus libre, j'espère.

Oh Madame, il t'embrasse dans le cou
Et ses mains se font audacieuses ;
Pourquoi ne pas vivre d'amour fou,
En occultant tes idées pieuses ?

Oui, Madame, la vie est si brève,
Ne laisse pas trop passer ta chance ;
Allez, concrétise tes beaux rêves,
Tu le fais avec tant d'élégance !

Anne Brunelle

J'écris (extraits)

J'écris par amour des mots
Et pour dire des mots d'amour,
J'écris souvent comme l'on crie
Quand on veut appeler au secours...

J'écris pour célébrer la beauté
De la nature toute puissante,
Et puis aussi celle des femmes,
J'écris pour mieux me souvenir...

J'écris pour celle que j'adore
Et qui connaît toute mon histoire...

J'écris pour ne plus être dupe,
J'écris pour ne pas mourir,
J'écris ma haine de la souffrance...

J'écris pour vous, mes chers amis,
Qui m'avez aidé à accepter la vie.

Bernard Lanza     

Bernard-Lanza

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