De tes adorables cuisses blanches,
De tes seins dressés,
De ton dos nu et de tes hanches,
Je ne peux me passer.
Je viens te baiser sous la lampe
Quand meurt le jour,
Et à tes genoux je rampe,
Subtils amours.
Ta langue s'enroule à ma langue,
Je me sens enivré,
Ma raison a chaviré et je tangue,
Jamais sevré.
Ta ferme croupe et tes aisselles
Soudain m'appellent ;
D'une voix chaude, ma toute belle,
Tu me harcèles.
Je te reprends en toute hâte,
Ardent désir,
Vois tous nos sens qui s'ébattent,
Friands de plaisir !
De tes adorables cuisses blanches,
De tes seins dressés,
De ton dos nu et de tes hanches,
Je ne peux me passer.