Jean-Marc Nattier - L'alliance de l'amour et du vin (1744)

Important ! le site est en sursis

Le site "bernardlanza.net" est inaccessible depuis mi-novembre 2017, la créatrice et administratrice du site, propriétaire du nom de domaine, ne pouvant plus en assurer la pérennité, sauf si les héritiers de Bernard LANZA prennent contact avec le webmaster afin de trouver une solution permettant de continuer sa publication.

Merci à toute personne susceptible de savoir comment contacter l'un de ces héritiers de le faire afin d'éviter ou d'acter cette fermeture.

 

Maman n'a rien compris

À seize ans, Nelly est follement heureuse,
« Maman, tu sais, je suis très amoureuse ! »
Et sa mère lui répond, en rigolant un peu :
« Ça te passera bien avant que ça me reprenne ».
Nelly se sent humiliée par cette sotte moquerie :
« Alors, mon bonheur, cela t'est bien égal ? »
La mère, touchée, consent à la questionner :
« Quel âge a-t-il ? Est-il joli garçon, et gentil ? »
Nelly est toute déconcertée par cette attitude ;
Ce qu'elle ressent est tellement fort et évident
Qu'elle ne s'attendait pas du tout à cette réaction,
Comment sa maman peut-elle ne se douter de rien ?
Marion et elle se connaissent pourtant depuis des années,
Depuis la sixième, elles sont dans la même classe,
Et passent ensemble presque tout leur temps libre.
Sa mère lui disait : « Vous êtes inséparables, un vrai couple ! »
Elles s'aimaient déjà comme des soeurs avant de ressentir
Un sentiment bien plus tendre et du désir ; elles s'embrassaient
Et éprouvaient des sensations qui ne laissaient guère de doute
Sur cet amour infini qu'elles allaient découvrir un peu plus tard.
Nelly regarde sa mère et elle lui dit d'une voix très douce :
« Ainsi, maman, tu n'as vraiment jamais rien compris,
Mais c'est de Marion, voyons, que je suis amoureuse ! »

Anne Brunelle

J'écris (extraits)

J'écris par amour des mots
Et pour dire des mots d'amour,
J'écris souvent comme l'on crie
Quand on veut appeler au secours...

J'écris pour célébrer la beauté
De la nature toute puissante,
Et puis aussi celle des femmes,
J'écris pour mieux me souvenir...

J'écris pour celle que j'adore
Et qui connaît toute mon histoire...

J'écris pour ne plus être dupe,
J'écris pour ne pas mourir,
J'écris ma haine de la souffrance...

J'écris pour vous, mes chers amis,
Qui m'avez aidé à accepter la vie.

Bernard Lanza     

Bernard-Lanza

Sauvegarder
Choix utilisateur pour les Cookies
Nous utilisons des cookies afin de vous proposer les meilleurs services possibles. Si vous déclinez l'utilisation de ces cookies, le site web pourrait ne pas fonctionner correctement.
Tout accepter
Tout décliner
Analytics
Outils utilisés pour analyser les données de navigation et mesurer l'efficacité du site internet afin de comprendre son fonctionnement.
Google Analytics
Accepter
Décliner