« Dis, t'as vu comme ils sont beaux,
Les gros nénés de la Mado ? »
S'extasiait le René, les pétrissant,
À son épouse Josiane les montrant.
Celle-ci n'était pas trop jalouse :
« Pour sûr, ils sont deux fois plus gros
Que les miens, aussi j'aimerais bien,
Si le coeur t'en dit, Mado ma jolie,
Pouvoir te les tripoter, moi aussi. »
La Mado n'étant surtout pas bégueule,
N'y trouva, quelle chance, rien à redire,
Et ressentit même un plaisir certain
À ce que la Jojo lui pelotât les seins ;
Et ce fut ainsi que leur charmant duo
Bientôt se mua en trio, avec pour devise :
« Y a pas de mal à se faire du bien ! »
Et le brave René, lui, depuis lors,
S'est pris au jeu et se dépense
Sans compter pour orgasmes donner
À ses deux amantes, sans réticence.