Ah ! le cul qu'elle a, nom d'un pétard !
Je n'ai pu que m'endormir bien tard,
Après l'avoir peloté longtemps,
Et apprécié, tout en bandant.
Quel cul ! vraiment, ah ! mes aïeux !
Il m'en a jeté plein les yeux ;
Jamais je n'avais lorgné de fesses
Aussi somptueuses que celles d'Inès.
Je les vénère plus que saintes reliques,
Humant leur parfum d'angélique,
Et comme elle aime pan pan cul cul,
Je ne vais pas m'en priver non plus.
Quand, sous mes claques, elle les bouge,
Et qu'elles deviennent bientôt toutes rouges,
Elle me semble encore plus désirable,
Il est grand temps de passer à table.
Son cul superbe, elle me le donne,
Et à tous les vices elle s'abandonne,
Rien ne lui importe plus alors
Que d'éprouver la petite mort.