Jean-Marc Nattier - L'alliance de l'amour et du vin (1744)

Important ! le site est en sursis

Le site "bernardlanza.net" est inaccessible depuis mi-novembre 2017, la créatrice et administratrice du site, propriétaire du nom de domaine, ne pouvant plus en assurer la pérennité, sauf si les héritiers de Bernard LANZA prennent contact avec le webmaster afin de trouver une solution permettant de continuer sa publication.

Merci à toute personne susceptible de savoir comment contacter l'un de ces héritiers de le faire afin d'éviter ou d'acter cette fermeture.

 

Il ne viendra personne / Il n'est venu personne

Il ne viendra personne

Ce soir, il n'est venu personne,
Et tu ne peux fermer les yeux ;
Même si les affres en toi résonnent,
Tu ne dois pas t'en prendre à Dieu.

Tu es sûrement le seul coupable
De cette solitude qui te pèse ;
T'es-tu toujours montré aimable ?
N'as-tu pas souvent pris tes aises ?

Tu croyais être encore solide,
Aussi sûr de toi qu'à vingt ans ;
Mais quand arrive le temps des rides,
Plus sombre devient le gai printemps.

Demain, il ne viendra personne,
Mais tu te souviendras des jours
Où, triste, tu implorais la Madone,
Parce que tu avais le coeur trop lourd.

                --ooOoo--

Il n'est venu personne

Hier, il n'est venu personne,
Et elle n'a pu fermer les yeux ;
Mais si les affres en elle résonnent,
Pourquoi toujours s'en prendre à Dieu ?

Ne serait-elle pas seule responsable
De cette solitude qui tant lui pèse ?
S'est-elle montrée assez aimable ?
N'a-t-elle pas toujours pris ses aises ?

Elle se sent pourtant aussi solide,
Aussi sûre d'elle qu'il y a vingt ans ;
Mais quand arrive l'instant des rides,
Est déjà bien loin le gai printemps.

Demain encore, il ne viendra personne,
Mais elle se souviendra de ces jours
Où elle suppliait la bonne Madone,
Parce qu'elle avait le coeur trop lourd.

Anne Brunelle

J'écris (extraits)

J'écris par amour des mots
Et pour dire des mots d'amour,
J'écris souvent comme l'on crie
Quand on veut appeler au secours...

J'écris pour célébrer la beauté
De la nature toute puissante,
Et puis aussi celle des femmes,
J'écris pour mieux me souvenir...

J'écris pour celle que j'adore
Et qui connaît toute mon histoire...

J'écris pour ne plus être dupe,
J'écris pour ne pas mourir,
J'écris ma haine de la souffrance...

J'écris pour vous, mes chers amis,
Qui m'avez aidé à accepter la vie.

Bernard Lanza     

Bernard-Lanza

Sauvegarder
Choix utilisateur pour les Cookies
Nous utilisons des cookies afin de vous proposer les meilleurs services possibles. Si vous déclinez l'utilisation de ces cookies, le site web pourrait ne pas fonctionner correctement.
Tout accepter
Tout décliner
Analytics
Outils utilisés pour analyser les données de navigation et mesurer l'efficacité du site internet afin de comprendre son fonctionnement.
Google Analytics
Accepter
Décliner