Où êtes-vous allées, mes certitudes ?
Êtes-vous parties au vent mauvais ?
Avez- vous glissé tout doucement,
D'échecs en cruelles désillusions,
Sans une branche pour vous raccrocher ?
Puis soudain vous voilà de retour,
Il suffit de bien peu de chose,
L'amour miracle, l'amour folie,
Qui aide à vivre et à sourire,
Et alors l'espoir renaît, lumineux,
Au chaud soleil d'un été fantastique,
Comme au printemps de nos vingt ans.