Dans le creux de ses nuits,
La vie chante en couleur ;
Mais quand le rêve s'enfuit,
Il ne lui reste que la peur...
La peur de se retrouver seul
Lorsque revient le jour,
De s'en prendre plein la gueule,
Parce que s'est fané l'amour...
Cet amour qui lui donnait
La vraie force de survivre,
Et qui en lui résonnait
Comme la parole du Livre...
Ce Livre qui lui avait appris
Le sens de notre existence.
Il voudrait pousser un cri
Pour sauver les apparences.